Fait divers Bonjour tout le monde, bienvenue à la page
des faits divers. Aujourd'hui je viens vous raconter quelque chose de personnel
et vous allez pas me croire. Cette un fait tellement irréel et absurde que même
moi j'en reviens pas... C'est vraiment incompréhensible. Je marche sur le
trottoir devant moi un jeune homme de bonne apparence et très bien habillé il
roulait à toute allure sur sa trottinette en mangeant une banane donc il
roulait avec une seule main et sincèrement je trouvais cela très improbable
parce qu’une trottinette à que deux roues il faut déjà avoir beaucoup d’équilibre
et en plus il roulait tellement vite et en mangeant. J'ai eu vraiment peur pour
lui et pour les personnes qui marchent en face de ce fou furieux, il ne se rendait
pas compte du tout du danger. Et le comble c'est qu'il a fini sa banane et il a
jeté la peau de sa banane en l'air et imaginez-vous où cette foutue peau de
banane est tombée??? Elle a volé directement sur mon visage... Je ne vous
raconte même pas la haine que j'ai ressentie à ce moment-là. Moi ni une ni deux
je cours comme une folle derrière lui en lui criant dessus, lui il s'arrête
avec ses grands airs et me demande : C'est quoi ton problème? Quand nos yeux se
croisent on se regarde bêtement et on ne sait pas quoi se dire... Je ne sais
pas exactement combien de temps ça à duré ce fameux regard mais je peux vous
assurer que c’était très intense... Du coup il regarde ma main et voit la peau
de la banane et me demande: C'est tombé sur vous? Je lui réponds: Oui forcément
je marchais derrière vous. Il s'excuse 1001 fois et il ne sait plus où se
mettre et en guise de pardon il m'invite à boire un café que j'accepte avec
grand plaisir. Voilà le fait très réel d'aujourd'hui à demain pour de nouvelles
aventures, rester fidèle à notre page.
Elsa
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Anecdote de Marco
J’étais en vacances
à Malaga, en Espagne, avec mes amis. Nous avions passé les dernières journées sur la plage parce qu’il faisait
très chaud. Malheureusement, un ami avait les oreilles bouchées, peut-être à
cause du sable, du vent ou l’eau salée de mer. Par conséquence,
il ne pouvait pas bien comprendre ce que les autres disaient. Malgré sa
situation, un jour il a décidé de parler avec une fille qui parlait aussi
italien et qui ne connaissait pas son problème aux oreilles. Quand la fille a
dit qu’elle avait été à Rome, il a compris, à cause de l’assonance entre “Roma”
et “coma” en Italien, qu’ elle avait étée “dans le coma”. Alors, il a répondu “je suis désolé pour toi,
c’est terrible”. Elle a répondu “non, c’est fantastique, j’ai passé des moments
très amusants”. Mon ami ne comprenait pas comment c’était
possible de dire qu’ être dans le coma pouvait être un moment fantastique et il pensait qu’
elle était une folle. Pendant qu’ il
parlait avec elle, je riais comme jamais.
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Un jour que j’ai passé à Paris
Un jour, le
mois dernier, mon ami m’a appelé quand j’étais au lit. J’ai répondu d’un ton agressif :
« Allô, quelle heure est-il maintenant pour que tu appelles ?
-Je sais,
mais peut-être que tu as oublié quelque chose aujourd’hui !
-Qu’est-ce
que j’ai oublié, dis-le moi, stp !
Il y avait
de la tension dans l’air.
-Ok, je suis
désolé, je sais qu’il est minuit maintenant, mais je t’appelle parce que tu
n’as pas téléphoné pour l’anniversaire de Jin hier. Elle a attendu toute la journée hier. Je crois que tu peux lui téléphoner
maintenant pour lui donner des explications.
Oui, j’ai
oublié l’anniversaire de ma meilleure amie.
Qu’est-ce que je peux faire ?
Peut-être qu’elle peut me pardonner ? J’étais dans mon lit et j’ai vite pensé. Oui, je vais aller à Paris demain et je vais
lui payer un superbe dîner inoubliable !
Un vol d’appartement raté
Je suis
maintenant âgée de 60 ans. J’ai encore
du courage, mais je ne suis plus comme avant.
J’avais 16 ans à l’époque. Un
après-midi d’hiver, ma mère quitte la maison pendant que je reste à la maison,
au téléphone. Ma mère comme d’habitude,
a le doute du fer à repasser. Ai-je
éteint le fer ? Elle me dit par
l’interphone d’aller le vérifier.
D’habitude, je me déplace dans le noir dans l’appartement. Mais heureusement, je ne l’ai pas fait ce
jour-là. J’ai allumé la lumière avant
d’ouvrir la porte de la cuisine. Voici
un jeune homme maigre devant moi.
Je n’ai pas
compris sur le moment. J’ai pensé que
c’était un ouvrier.
Peut-être ? Mais après
quelques secondes, je lui ai dit très en colère et indignée :
« Va-t’en ! » Et je lui
ai fait retourner là où il était venu, alors que lui, plus surpris que moi m’a
dit :
« Je ne
te ferai aucun mal, je ne te ferai pas de mal ! » et il est descendu
du troisième étage le long des gouttières.
Le lendemain, l’appartement du bas avait été cambriolé et mes parents
ont mis une balustrade sur notre balcon.
Michela
